Tout comme les urgences, les unités de soins intensifs de nos hôpitaux débordent. Faute de place, il faut refuser des gens gravement malades. Selon les intensivistes que nous avons rencontrés, de 10 à 20 % des patients ne réussissent pas à être admis aux soins intensifs, même si leur condition le requiert. Un problème commun à la plupart des hôpitaux québécois. La pénurie d’infirmières est grandement responsable de la crise aux soins intensifs. Il arrive parfois que des gens meurent. Des décès qui auraient pu être évités selon les témoignages que nous avons recueillis. Trois hôpitaux ont accepté de nous ouvrir leurs portes: l’hôpital général juif, l’hôpital Charles LeMoyne et l’hôpital du Sacré-Cœur.
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